Vie affective et sexuelle
Santé sexuelle
Prostitution
Handicap et sexualité
Nos expert·es en parlent
Les différents enjeux de la vie affective et sexuelle
🍑 Santé sexuelle
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Connaissance du corps
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Contraception et IST
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Grossesses non désirées et IVG
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Puberté
⛔ Éducation au consentement
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Plaisir désir
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Violences sexuelles
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Pornographie
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Relation égalitaire
🏳️🌈 Identité de genre et orientation
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Transidentité, non binarité, intersexuation (...)
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Homosexualité, bisexualité, asexualité (...)
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Mouvement LGBTQ+
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Inclusion et discrimination
🦵 Prostitution
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Prostitution de mineur·es, majeur·es
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Travail du sexe
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Achat d’acte sexuel, proxénétisme
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Traite des êtres humains
👄 Handicap et sexualité
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Droits humains
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Education sexuelle
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Vulnérabilités
En savoir plus ...
Qu’est ce que l’éducation sexuelle ?
La sexualité n’est pas qu’une question de biologie, mais concerne aussi notre rapport à nous-même, aux autres et à la société.
L’UNESCO a établi en 2018 une liste de tous les concepts clés à aborder pour effectuer une “éducation complète à la sexualité”, tels que : les relations, le genre, le corps, les violences, les comportements sexuels ou la reproduction.
Pourquoi parler de consentement ?
L’éducation au consentement a pour objectif de prévenir les violences sexuelles, et de favoriser une bonne santé sexuelle.
Le consentement, c’est donner son accord (sa permission, son acquiescement, son autorisation) pour faire quelque chose.
Pour être valable, le consentement doit respecter trois points : il doit être libre, éclairé et continu.
En quoi une situation de handicap influence la vie affective et sexuelle ?
Le handicap concerne 15% de la population, et il existe des centaines de types de handicap. Dans la généralité, les troubles et pathologies - qui provoquent une altération des fonctions physiques, sensorielles, mentales, cognitives ou psychiques - impactent moins la vie affective et sexuelle que ce que nos préjugés nous laissent penser.
Les personnes en situation de handicap sont par contre statistiquement plus victimes de violences sexuelles, moins bénéficiaires d’éducation sexuelle, et plus en difficulté pour rencontrer des partenaires.
Que faire lorsqu’on accompagne une personne en situation de prostitution ?
La culpabilité porte sur les client·es de la prostitution, et pas sur les personnes en situation de prostitution reconnues comme victime.
Depuis la loi du 13 avril 2016, le délit de racolage a été supprimé, et le recours aux services d’une personne qui se prostitue est interdit et condamné. Tout·e mineur·e qui se prostitue est considéré comme en danger, et la situation doit faire l’objet d’un signalement.
Vers quels partenaires orienter une personne victime de violence sexuelle ?
En cas de danger imminent, appelez le 17. Dès lors que vous avez connaissance d’une violence commise par ou sur un·e mineur·e, le signalement est obligatoire - vous pouvez contacter le 119.
Plusieurs structures est association ont pour mission d’accompagner les victime dans leur parcours de soin ou juridique : les CIDFF, centres de planification, ou les MDA par exemple.
Pour une santé sexuelle positive, inclusive et épanouissante pour tous·tes et pour lutter contre les violences sexuelles